Retour

* Meier marchair seul , les éclair tourbillonaient autour de lui la peur au ventre " Mais que fesait t'il ici " il marchait trainant les pieds le regard vide sans émotions , il marchait droit sans un regard autour de lui *

Je vascillais entre les mondes. Plus rien ne me retenait ici. Cependant, j'aimais me promener. Lointains souvenirs me laissaient mélancolique. Passant la porte des mondes, les pierres résonnèrent. Le château, maintenant désert. Mais que pouvait il encore m'attirer en ces lieux. Si j'avais eu à poursuivre mes études, je serai en cinquième ou sixième année. Ma jeune fille marchait à présent. Elle allait partout, curieuse et intelligente. Elle se delectait aisément de quelques ouvrages illustrés sur la magie.
Une fois dans le château, nous errâmes, tels des fantômes. Je lui montrais les recoins intéressants du château. Cela nous prit quelques heures. Par la suite, nous nous guidâmes vers la statue menant à Près au lard. Sur place, nous sortîmes du village. J'offris quelques friandises à mon enfant. Voyant que cette dernière était épuisée, je la pris sur mes épaules et continuais à érrer. Bientôt je me retrouvais sur un sentier. Une silhouette se dessinait au loin, je marchais à une vitesse constante.

* Meier vit Rose et accélera le pas quand il arriva devant il to;ba dans ses bras , essouflé en respirant difficilement et il dit *

- Rose ... J'ai besoin de toi ....

* Et il s'évanoui dans ses bras *

Il vint, s'effondra. Dès lors, je ne sus que faire, je paraissais si confiante et à présent, déboussolée. Dans mes bras, l'homme était inconscient, il me fallait l'emmener au plus vite. Il souhaiter quérir mon aide. Que voulait il? Si je souhaitais savoir de quoi il retournait, je devais en prendre soin. Ainsi le conduisis-je à Poudlard. Une calèche nous y conduîmes promptement. Sur place, le cochet m'aida pour monter le jeune garçon dans les dortoirs. Nous nous arretâmes chez Serdaigle et montâmes au dortoir des demoiselles. Les lits à baldaquin, les motifs et couleurs typiquement féminins...Je l'allongeai sur un lit, fis de même pour ma puce et l'endormi. Toute la nuit durant je restai à leur chevet...

* Meier ouvrit les yeux et vit Rose *

- Rose ... Ou est Daisuké ?

* Il trembalit comme une feuille morte sur le lit ,la sueur coulait le long de son visage , ces plaies étaient fraichement ouverta , ses habils déchirés *

Daisuké qui marchait dans la rue et vit rose avec un homme dans ses bras ... Quoi ?! Mais il regarde de plus près s'était en réalité Remus qui avait l'air mal au point, donc il court vers lui et lui demande :
- Remus qu'est-ce que t'as ?

Il prit et fait s'asseoir doucement puis il se tourne vers sa femme et lui sourit en disant ceci :
- Ca fait un bail je suis désolé de mon absence mais j'étais très occupé. Je sais tu t'es occupé de notre fille toute seule mais maintenant je suis là et je ne partirai plus je ne vous quitterai plus jamais ... Car c'est toi que j'aime et personne d'autre ... Je t'aime Rose !

- Daisuké ...le pendentif que je t'avais donné ... sert toi en pour me soigner ... s'il te plait

* Il essaya de lui sourire et cela donné un sourire crispé il repensa à la fois ou il était partit sur le champ de bataille en ayant donné le pendentif a Daisuké comme sa quand til devenais bleu il suffisait de penser à lui pour que la personne concerné se trouve à coté *

Daisuké se retourne subitement vers son frère puis sortit aussitôt le pendantif celui-ci se dirige directement vers Remus et se mit sur son torce.
Un flash blanc sort de nul part et éblouit Daisuké qui s'était mit devant Rose et sa fille pour les protèger, et quand le flash fut dissiper Remus avait l'air d'aller mieux mais Daisuké était au sol et se tient l'oeil droit.

* Remus se leva assez souriant les larmes aux yeux et il se jeta sur son frère *

- Daisuké ... tu m'as manqué ...

* Puis il fondit en larmes sans penser a ce que Rose pouvait penser . Remus faire un calin oO' c'était exeptionnel ... surtout venant de lui le solitaire à caractère de cochon *

Daisuké qui avait l'oeil droit aveugle se retrouve avec Remus dans ses bras puis il dit ceci :
- Ok à moi aussi mais évite de m'écraser s'il te plait

- Je suis désolé

* Il se leva brusquement et lui aussi il faillit tomber au sol , puis il fut intriguer par l'oeil de Daisuké *

- Tu as quoi à l'oeil ?

Cela faisait tant de temps. Trop de choses, tant de souvenirs. S'estompant peu à peu, certaines personnes n'étaient plus que de vieux souvenirs. Alors, une envie surprenante me prit. Tous avions certainement progressés. Si nous rouvrions l'école. Qu'adviendrait il? Poudlard avait perdu tout son prestige, après ses années de gloire. Désormais, Beauxbâtons et Durmstrang devaient être bien plus prisés. D'autres écoles s'étaient elles formées? Cette question me taquinnait l'esprit. J'avais quitté ce monde aux côtés d'Isil et de Séphiroth. Ils avaient changé, eux aussi. Cette idée infondée de reconstruction de l'école m'atteignit. Je devins aussitôt mélancolique du passé. Si bon, si doux, si intriguant... Même si nous rouvrions, cela ne serait plus pareil. Où était passé Lestat, les professeurs, Ambre, Rozen... Tous...
Soupirant longuement, j'ouvris les yeux, revins à cette sombre réalité. Daisuké était accroupi, essouflé. Quant à Remus, ses larmes perlèrent en de longs flots, ce qui fit pleurer Akane.

Eh bien...

Daisuké retire sa main, laissant apparaitre l'oeil droit qui était devenu blanc. Il est devenu aveugle de l'oeil droit mais Daisuké n'est pas de nature à se plaindre sur ce genre de chose donc il sort un bandeau et se l'entoure autour de sa tête en fonction qu'on ne voit pas son oeil droit.

Puis il se retourne vers Rose, se met à genoux, prend sa main et lui enfile une bague au doight puis lui demande ceci en la regardant dans les yeux :
- Je sais, j'ai pas fait mon rôle de père, je t'ai laisser seule pendant plus de deux ans sans donné de nouvelle. Mais sache quand j'étais pas à tes côté je pensais tout le jour à toi et à notre enfant. Car je sais qu'on ne peut pas élever un enfant seul, donc j'ai décidé de réparé mes erreurs et la premières choses que fait c'est cette demande.

Il s'arrête un petit instant puis dit la phrase que beaucoup de femmes souhaites entendre.
- Rose Duchateau, voulez-vous m'épousez ?

* Remus posa sa main droite sur la bouche les larmes aux yeux , le regard brillant il les regardaient ... Ses parler se regarder tendrement pendant que lui ca petite amie était partie ... à jamais ... Remus sans Lucheeta c'était pas inimaginable son caractère était beaucoup plus fragile qu'avant ...*

Une silhouette sombre et encapouchonnée se dessinait au loin. La cape d'un violet sombre et profond virvoltait, et quelques longues mèches brunes s'échappaient de la capuche.
Elle avançait d'un pas rapide, à une allure soutenue. Elle respira l'air de l'angleterre, ça faisait des années qu'elle n'y avait pas remis les pieds.
Trois adolescents étaient sur sa route, elle sentit son coeur battre la chamade, est ce que ... ?
Elle accèléra, et son coeur s'emballa, elle les reconnu tous, immédiatement. Daisuké, Rose, sa petite Rose à elle, plus si petite d'ailleurs, et Remus, elle redoutait un peu leur rencontre, pas tant que ça en fait... Elle s'immobilisa doucement non loin d'eux.
Et Isil retira sa large capuche jetant ses cheveux aux vent, une expression largement teintée de malice sur son visage, le sourire aux lèvres.

* Remus tourna la tète et apercu une femme , il eu du mal à la reconnaitre mais il l'a reconnue Isil ca prof préféré ( xD et oui c'est toi ) Ses larmes lui montèrent encore , cela fesait longtemps ...

Le bonheur lui revint ses gaffes aussi ... il ne bougea pas de sa place mais il baissa la tète sans rien dire en attendant qu'elle vienne *

Surprenante, inattendue, la proposition du jeune homme me provoqua un haut-le-coeur. Suite à cela, je déglutis. A vrai dire, l'idée du mariage m'eut traversé l'esprit, jadis. Toutefois, elle n'était plus qu'un lointain souvenir. Endurcie, j'avais maintenant appris à me débrouiller par mes propres moyens. Nous nous fûmes rencontrés il y a quelques temps. Dans l'autre monde...D'ailleurs. Qu'était il advenu d'Isil. Alors qu'il s'agissait de la personne auquel je tenais le plus, après Akane, je n'eus l'ombre d'un songe me proposant une quelconque recherche. Nous nous étions perdus de vue. On pouvait m'appeler vagabonde. Ma jeune fille en avait découvert des landes, des dimensions diverses. Elle était d'ailleurs si épanouie pour son âge, si habile. Les enfants d'Isil devaient avoir très certainement bien grandis, également. Tant de remords, je me tourmentais continuellement. Pourquoi l'avais-je quittée? ...
Alors que j'allais finalement ouvrir ma cavité buccale pour répondre au sorcier, des pas retentirent dans mon esprit. Les pulsations s'intensifièrent. Tambourrinant ma poitrine, mon coeur semblait reconnaître cette aura. Silencieusement, je vins poser Akane au sol, qui acourra aussitôt vers Daisuké. Je fermais les yeux. Droite tenue, mes quelques mèches ondoyaient dans les vagues glacées du vent sonnant. Les feuilles mortes balayées par celui ci, ne représentant que peu d'interêt il y a peu, jouèrent le role de médiateur. L'aura s'approchait, la démarche assurée. Effectuant une rotation basée sur mon pied gauche, mes vêtements s'attardèrent quelques instants. Imprudement, je me jettai dans ses bras. L'émotion fut au comble. Sereine, j'étais comblée, bienheureuse. Esquissant un maigre sourire, j'entrouvis mes lèvres, une bribe de toutes les verbes, tous mes maux, s'extirpèrent. Je larmoyais à mon tour.

Désolée...M'man...

Elle qui je considérais comme ma mère, ma douce...mon espoir, ma vie, ma confidente...

Isil reçu Rose sans chanceler, et serra la jeune fille contre elle.
Elle ne pleurait pas, elle avait déjà versé trop de larmes durant des années. Elle n'avait pas vieilli, elle était restée la même, les même yeux couleurs de mer, les même cheveux chatains aux reflets roux flamboyant, la même silhouette, une petite poitrine, la taille creusée, les hanches et les cuisses assez rondes, de taille moyenne. Et le même masque avenant teinté de malice qu'elle arborait souvent. Elle portait les même couleurs que la première fois où elle avait mis les pieds ici, violet, vert, pourpe, et blanc.
-Désolée de quoi ? fit une voix douce en guise de réponse, il n'y a pas de quoi être désolée.

Et ce fut un petit rire qui termina la phrase, et la femme repoussa doucement celle qu'elle tenait dans ses bras. Elle avait grandi, et un sourire de fièrté naquit sur ses lèvres, et dire qu'elle l'avait vu affronter toutes ses épreuves sans broncher.
-Heureuse de vous revoir tous...

* Remus resta sur place mais se retourna sans rien dire et croisa els bras fesant aucun signe , il regardait le ciel

" Et dire que je dois ètre gentil maintenant ... ne pas m'énerver , ne pas faire de conneries ne pas se transformer en loup-garou ... C'est trop dur "

et dit *

- Moi aussi ca me fait plaisir de vous revoir Madame Felagund ...

* Il ferma sa bouche réflechit un instant et finit par dire *

- je vais y aller ... Je n'est pas ma place ici

* Il partir vers l'école en marchant *

Isil leva les yeux et fixa Remus qui s'éloignait, elle soupira.
Il fallait s'y attendre, il la croyait responsable de tout, mais il ne devait pas oublié qu'elle avait failli y laisser sa peau plus d'une fois.
Elle lâcha complétement Rose, et c'est avec un ton teinté d'un peu de moquerie qu'elle laissa tomber :

-Tu auras beau essayer de franchir le Portail de l'Ecole, tu n'y arriveras pas, il est fermé.
Elle sourit, puis reprit un peu plus normalement :
-Je dois aller à la gare, allez donc faire un tour aux Trois Balais en attendant, je vous rejoindrais, et j'ouvrirais l'Ecole.

Isil haussa un sourcil interrogateur, elle devait se dépêcher, sa fille arrivait avec son oncle par le train de 13h, et il était déjà 13h moins 10... elle allait être en retard...

Dans l'ombre d'un chêne, une silhouette regardait. Ses traits cachés par la capuche de sa cape, Gildven observait une personne - une seule -, stupéfait. Il lui semblait revoir celle qu'il pensait avoir perdue pour toujours. Mais étais-ce réellement possible ?

Sortant sa baguette il lança dans une langue gutturale une incantation qui datait de l'apparition même de la magie dans le monde des hommes. L'air qui l'entourait devint plus dense, plus compact, si bien qu'il fut bientot protégé par une aura noire - mais en rien maléfique. Cepedant tout ce qui n'était pas près de son "aura"' devient légèrement plus lumineux à ses yeux.

Profitant de la protection partielle de son sortilège - et fermant toutes les portes de son esprit - Il osa s'approcher d'elle... C'était vraiment Elle...
Comment cela pouvait-il être ? Impossible.

Sachant que ces pouvoirs avaient toujours égalés les siens, il protégea d'avantage sa psyché, renforçant son emprise sur le sortilège qui le dissimulait...

Isil siffla de stupéfaction, il était revenu. Ses yeux devenus d'un vert presque jaune dardèrent en instant la silhouette qu'elle entrapercevait. Une ombre dans une ombre, elle le reconnu tout de suite.
Elle soupira, s'il était là... l'autre devait être ici aussi, bientot, ou peut être jamais...
Et le fléau du Septième monde aussi, il était ici, à croire que... Alors quelque chose claqua dans sa tête, Isil passa sa main sur le coté gauche de son crâne, soudainement prise de vertige, elle réussi à garder l'équilibre. Il ne l'avait jamais laché, le fléau l'avait toujours observée, et par ses propres yeux.
Puis elle secoua la tête, faisant virvolter ses cheveux. Elle renforça son glamour, la protection magique des feys, et sentant l'air changer, voyant les premiers flocons tomber, elle rabattit sa capuche.
-Je vais y aller, je suis déjà en retard, on se voit plus tard de toute façon...
Elle dépassa le petit groupe, et poursuivit son chemin, accèlérant le pas, la gare, sa fille...

Gildven la regarda s'en aller. Il savait qu'elle avait perçue quelque chose, peut être même avait-elle devinée sa présence. Ce qui serait légèrement problématique. D'un côté, il ne pouvait se présentait devant elle: Elle le tuerai. De l'autre, si elle avait réellement compris qu'il était là, et qu'il n'allait pas là voir, ce serait pire...

Sans vraiment y réfléchir, Gildven se glissa sous le couvert des arbres, évoquant les puissances occultes de protection et de dissimulation les plus puissantes qu'il connaissait. Il se hatait, bougeant d'une façon gracile, à la manière d'un elfe.

Il l'a sentait devant lui, relachant le pas, il prit alors tout son temps, gardant ses pensées à l'intérieur de ses protections mentale... Il ne fallait pas qu'elle puisse lire en lui, ou qu'elle ai une preuve psychique de sa présence en ces lieux d'ardents souvenirs.

Isil accèléra encore le pas, [tsss... je ne le relâche pas vieux bouc =p] elle dévala en suite le chemin menant au près au lard.
Elle était suivie, ça ne s'arrêtera donc jamais cette histoire ? Pourquoi fallait-il qu'il... Non, elle se mit à courrir, manquant de trébucher, elle se dépêcha d'atteindre le village. Essoufflée elle ralentie le pas, et s'immobilisa complétement. Pivotant sur elle même, ses yeux dardèrent le chemin derrière elle.
-Inutile de te cacher, je n'ai même plus envie de t'étriper, même plus envie de te parler, je suis fatiguée, et j'aimerais mener une vie la plus normale possible avec ma fille.
Faisant volte face, elle carra ses épaules, et la tête haute elle entra dans le Prés-Au-Lard.